10 situations fréquentes en concours

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1. Les drama queen au paddock

Tu la connais cette cavalière et son coach qui débarquent au paddock comme au festival de Cannes ? Bien sur que tu la connais, : elle t’a laissé un souvenir à la rétine lorsqu’elle t’a aveuglé avec son tapis et bonnet à paillettes. C’est cette même Drama Queen qui vient te glisser très délicatement à l’oreille, avec de jolis surnoms tout doux, que tu as osé lui couper le chemin quand tu allais sauter ton oxer parce qu’elle avait la priorité à gauche. 

2.  Le camion embourbé

Concours de fin de saison dit souvent pluie, et … boue. Il en y aura toujours un avec une roue qui tourne dans le vide et un geyser qui jaillit du pneu. ll va falloir sortir le tracteur !

3. La queue à la buvette

Il est 10h45. Tu as fini ta reconnaissance et tu te dis que ce serait bien le moment pour une petite crêpe au Nutella, vu l’heure il ne doit y avoir personne. Loupé, tu attendras ta crêpe derrière les 50 autres personnes qui se sont dit la même chose. 

4. Le cheval en liberté

Dans les allées il n’est pas rare de croiser des grooms qui courent, des enfants qui pleurent, des cavaliers pleins de sable ou des coachs qui râlent. Mais de temps en temps, petite variante : tu croises petit Tonnerre qui fait sa petite balade dominicale, seul. Derrière lui ? Sa propriétaire, qui tente en vain de le ramener à la raison.  

© Equestrian News/Marion Poisson

5. Les mamans stressées

Ah, tu te reconnais dans ce cas de figure ? Deux hypothèses : Soit tu es la fille de la maman qui lève la jambe à chaque obstacle que tu passes, ou qui crie quand tu prends une foulée un peu trop longue, soit tu es la maman en question et tu viens de te rendre compte que tu es exactement comme ça. 

6. Les speakers qui écorchent les noms

À croire que les éleveurs se font passer le mot pour torturer nos pauvres speakers. Entre les noms à rallonge, en anglais, en allemand et on en passe, le niveau B2 nomenclature équine sera bientôt requis pour réussir à les déchiffrer. 

© Equestrian News/Mathilde Vial

7. Ceux qui pensent filmer alors qu’ils ne filment pas

« Je filme là ? », «  Mais il y a le soleil je ne vois rien », « Oh non c’est ma tête, pourquoi je ne suis pas du bon côté ? », «  Elle va trop vite je peux appuyer sur le bouton », « Oh mince elle est passée » En général ça se conclut sur un « Ah je n’ai pas de vidéo »… Il vous en faut d’autres ? On sait que vous les avez déjà entendu au moins une fois celles-là.

8. Le shopping compulsif

On connaît tous ce fameux : « non mais j’ai besoin de rien, je fais juste un tour. » Puis tu passes devant les stands de sellerie tous plus beaux les uns que les autres et la faiblesse te rattrape. En même temps, un tapis de plus ou de moins, qu’est-ce que ça change ? 

9. Le choix ultime des photos 

Quel casse-tête. Sur celle-ci tu as un bon profil mais petit tonnerre n’est pas assez rangé. Alors que sur celle-là il est fantastique mais tu as une position des plus étranges. Choix final ? On s’accorde sur celle de la georgette, elle est originale au moins. 

Heureusement : Heloise et Canakine, c’est 100% de photos réussies !
© Equestrian News/Amélie Berthenet

10. Le retard

Tout simplement, le retard. Le tien pour commencer, quand tu arrives à la reconnaissance déjà fermée car ton cheval n’a pas voulu monter dans le van et que tu retrouves à regarder les premiers cavaliers en priant pour que ça passe. Celui du concours aussi, les chutes, les autres cavaliers en retard, et on en passe. Résultat ? Compte au moins 1h30 de plus sur ton planning, dans le meilleur des cas tu auras de l’avance pour une fois. 

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