9 activités préférées des Cavaliers
Si on vous parle des « Activités préférées du cavalier » vous allez répondre « monter à cheval », « aller en concours » ou bien « s’occuper de Petit Tonnerre », non ? Mais ça ce n’est que l’envers du décors, la partie édulcorée d’une vie de cavalier, celle qu’il affiche à foison sur les réseaux sociaux. Aujourd’hui nous allons vous dévoiler les véritables activités préférées d’un cavalier, celles qu’il montrera moins et qui font pourtant partie intégrante de sa vie aux écuries !
1- Rapporter les deux tiers de la botte de foin à la maison
Celui qui n’a jamais distribué le foin aux chevaux (ou garni ses filets à foin avant un concours) ne comprendra pas… Mais après des études statistiques très poussées (si, si), il est scientifiquement prouvé que c’est impossible de ne pas rapporter des poignées entières de foin chez soi après en avoir manipulé aux écuries. Ça fonctionne aussi avec la paille et les copeaux. Par extension on peut également dire que le cavalier ADORE passer le balais et l’aspirateur chez soi !
2- Compter les grains de sable dans la carrière
Ou bien les manger, au choix. Mais ne vous méprenez pas, c’est toujours un acte 100% volontaire de la part du cavalier bien évidemment. Il vérifie juste la conformité du sol, soucieux du bien-être de son destrier.
3- Casser des barres
Ici aussi c’est juste une étape clé du contrôle qualité du matériel mis à disposition dans la carrière. Visiblement si les barres cassent ce n’est pas la faute de la boite de Ferrero Rocher dans le club house, c’est juste qu’elles manquaient cruellement de solidité (rien à voir non plus avec le talent du cavalier, on vous voit venir)
4- Perdre son cure-pied…
… et piquer celui du voisin. C’est presque un jeu en fait, « le cure-pied musical » : 3 cavaliers dans une allée, 2 cure-pieds… vous connaissez la suite !
5- Rentrer à pied d’une balade
Que ce soit en forêt ou dans les champs, c’est toujours volontaire et réfléchi de la part du cavalier de rentrer à pied (et seul ?) d’une balade avec Petit Tonnerre. Une histoire de récupération active et d’entretien du cardio…(ou de mauvaise foi).
6- Chercher le fer de Petit Tonnerre au pré
La course d’orientation au fer se déroule plutôt (surtout) quand il pleut, ou quand il fait froid, ou les deux réunis. Il permet au cavalier d’aguerrir son acuité visuelle, son sens logique et sa détermination.
« Abuser perdre son fer dans le gué… » « Les gars y a un fer là, c’est à qui ? » © Equestrian News / Mathilde Vial
7- Courir après le chien des écuries
Ça fait partie du programme d’entretient physique du cavalier, courir après le petit Jack Russel des écuries qui lui a piqué son sachet de bonbon ou son pinceau de graisse à pied.
8- Tester l’imperméabilité de tous les vêtements de pluie possible
Quelque soit la marque, le cavalier prendre plaisir à tester tous les kway, les imperméables, les doudounes et les cirés disponibles sur le marché. Pour la science, il ira joyeusement aux écuries ou en concours sous des trombes d’eau, pour faire une review complète de l’imperméabilité des 42 vestes qu’il a dans son coffre en permanence.
9- Prendre des coups de soleil improbables
Tout comme le cavalier aime tester l’imperméabilité de ses vêtements, il adore également s’exposer au soleil pour inventer de nouveaux patchwork entre bronzage, coupe de soleil et peau couleur « cachet d’aspirine ».
Merci beaucoup pour cette crise de fou rire. Ça fait beaucoup de bien.
Je suis une cavalière d’extérieur avec des chevaux non ferrés mais si je ne cherche pas le fer, je cherche ma lampe frontale dans les bois pour aiguiser mon intuition.
Je ne compte pas les grains de sable mais les branches basses, surtout dans la sapinière, c’est un exercice de style « danse orientale ».
Et je crois que j’ai LE truc vraiment unique : la 207 tracteur 🤔
Bonne journée