10 façons de dire que t’es cavalier… sans le dire
Être cavalier, c’est adopter tout un tas de pratiques bien définies qui nous réunissent tous. Dans la vie de tous les jours, il y a des indicateurs qui ne trompent pas… Et sans même dire que l’on est cavalier, c’est assez facile de se reconnaître. Voici 10 exemples auxquels tu t’identifies forcément !
1. Se lever à 5h le dimanche est presque normal pour toi
Vous avez dit « grasse matinée » ? Ce terme est pourtant inconnu aux cavaliers, qui connaissent par ailleurs l’ambiance tellement particulière de l’aube, le soleil levant, et Petit Tonnerre qui ne veut pas embarquer pour aller en concours.
Marche aussi avec les réveils qu’on a mis cet été pour regarder nos français en direct de Tokyo !
2. Ton critère principal pour aimer un film/une série : est-ce qu’il y a des chevaux ?
20h01 : Mouais, moyen ce film.
*Le personnage principal se cache dans une écurie*
20h02 : Wow ! Meilleur film de ma vie.
3. Tu tiques quand tu entends parler de Michael Youn
Deux homonymes, bien qu’on ne parle pas du même spécimen. L’un brille par sa régularité sportive, son équitation classe, discrète et efficace, ses multiples titres et son sang froid légendaire. L’autre chante « Fous ta Cagoule ».
4. Tu as regardé davantage Equidia qu’M6 dans ton enfance
Notamment à l’époque bénie où les grosses compétitions étaient diffusées gratuitement ! Dans la même logique, Kamel Boudra et Pascal Boutreau sont des noms qui te parlent au même titre que ceux de Claire Chazal ou Jean-Pierre Pernaut.
E=M6 ou Profession Cavalier ? La question est vite répondue.
5. Tu as un onglet « FFE » ou « FEI » ouvert en permanence
Et tu connais par coeur tout le calendrier des concours dans ta région, les listes de qualifications pour l’objectif final de ta saison et la computer-list de tes plus vaillants adversaires.
6. Tu n’es pas choqué par quelqu’un qui s’appelle Astier ou Sydney
On peut même aller plus loin : ça t’énerve beaucoup d’entendre les médias se tromper et parler longuement de la super performance de « Nicolas Astier » dans le dernier championnat.
7. Ton feed Instagram est composé à 80% de photos de chevaux
Ton feed ressemble en effet plutôt à cela :
Poney / Cheval / Cheval / Influenceur Poney / Résultat de concours / Poney / Ami / Marque équestre
Oui, tu n’as qu’un ami.
8. Tu n’as jamais de courbatures aux adducteurs
Déjà tellement sollicités en cours d’équitation, tes adducteurs résistent à n’importe quel exercice de musculation.
9. Tu as des groupes de discussion où il est acceptable d’envoyer « j’ai mal aux fesses à cause d’hier soir »
Et ce ne sera même pas mal interprété ! Enfin, ça dépend du caractère de tes amis.
10. Tu fais partie d’une cinquantaine de groupes Facebook de vente de chevaux
Alors que tu n’as ni le budget, ni le temps, ni le niveau. Mais… « on ne sait jamais » ! Et même si c’est frustrant de passer la journée à rêver de ta monture idéale, il faut bien se tenir au courant.
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