10 situations qui te rendent vulgaire aux écuries

  • Auteur/autrice de la publication :
  • Temps de lecture :4 min de lecture

Que ce soit à cause des mouches l’été, de la boue l’hiver, ou de ta désagréable voisine de box, il y a toujours des situations à l’écurie propres à t’arracher des insanités de la bouche. Cavaliers, cavalières, il est temps que nous fassions le point sur les circonstances qui nous rendent le plus vulgaire.

1. Quand tu te retrouves les pieds trempés en douchant Petit Tonnerre

Alors que la température extérieure est de 5°C… Et que Petit Tonnerre, plus frais que jamais, a essayé de te désarçonner pas moins de cinq fois pendant votre séance. Autant de raisons de pester contre la vie nous te l’accordons.

Personne sautant dans une flaque.
Un bel aperçu du bonheur d’avoir les pieds gelés et mouillés par 5°C en plein hiver.

2. Quand tu avais la flemme de bien t’habiller et ton/ta crush débarque à l’écurie

Nous sommes dimanche, tu as enfilé ce qui traînait dans ta chambre avant d’aller rendre visite à ta bourrique préférée, et là c’est le drame. Ton crush déboule dans ton allée alors que tu arbores une chaussette rose, une chaussette bleue, une paire de Crocs et une coiffure très approximative. C’est le moment de jouer de ton charme naturel… Ou de partir en courant.

3. Quand les paddocks sont devenus des pataugeoires

Et qu’il aurait fallu que tu investisses dans une bonne paire de cuissardes ou une barque pour aller chercher Petit Tonnerre, qui bien évidemment, a élu domicile au fin fond de son pré. C’est le moment de lâcher ton juron préféré, personne ne t’en voudra.

Petit Tonnerre a décidé qu’il ne voulait pas travailler aujourd’hui, tu vas donc pouvoir courir après lui pendant une heure dans la gadoue, un bon substitut à ta séance de sport.

4. Quand c’est l’été et que tu te fais pourchasser par des taons

L’été, le soleil, ton bronzage… Et ces saletés de taons et de mouches qui t’attaquent à la première occasion. Encore de quoi te rendre vulgaire, pourtant les insectes ne sont pas sensibles aux insultes, contrairement aux sprays insecticides par exemple.

5. Quand tu fais tomber ta brouette pleine de crottin au milieu de l’allée (ou sur toi)

Qui n’a jamais été maladroit au point de finir par renverser sa brouette pleine de crottin ? Ici nous plaidons définitivement coupable. Et, si tu rajoutes à cela le fait qu’il est 5h du matin, qu’il pleut, tu peux officiellement insulter la terre entière avec notre total accord.

6. Quand il y a le camion à foin à décharger (et que tout le monde joue à cache-cache dans l’écurie)

Ah ce doux bruit de camion qui arrive à l’écurie… Ces personnes qui trouvent soudain des occupations très très importantes qui ne peuvent surtout pas être remises à demain. Et, oui, à toi les deux heures de déchargement dans la joie et la bonne humeur (ou sous les insultes et les vulgarités c’est à toi de choisir) !

7. Quand c’est ton tour de ranger la sellerie

Vieille couvertures trouées, boule de rênes emmêlées, cravaches cassées et tapis décolorés… Autant d’objets disparates qui sont stockés dans les coins obscurs de la sellerie de ton écurie. Et toi, grande âme charitable, tu as bien entendu (sous la contrainte) accepté d’y mettre de l’ordre. Allez, bonne chance, un petit ****** au passage te soulagera sûrement.

Cavalier s'occupant du nettoyage de ses selles en cuir.
Faire les cuirs, ranger la sellerie… Deux activités qui peuvent rapidement entamer ta patience à l’écurie.

8. Quand il faut vider et nettoyer le camion après un concours

Tu es fatigué, tu as manqué de mourir embarqué sur ton tour d’honneur, et pourtant il est l’heure de nettoyer le camion après le concours. Remettre cette tâche à demain ne changera rien, le camion ne se nettoiera pas par magie dans la nuit, malheureusement.

9. Quand les seaux sont bloqués entre eux et que t’as les mains gelées

Tu as beau tirer dans tous les sens, appeler un ami à la rescousse, rien n’y fait ces 3 seaux sont définitivement scellés ensemble. Et pire, en forçant une énième fois, tu te coinces tes doigts gelés dans une des anses. Aller tu as le droit d’être vulgaire pour cette fois-ci. 

10. Tu as les pieds gelés l’hiver et Petit Tonnerre te marche dessus

Une sensation horrible qui te donne envie de pousser des cris stridents et de vendre Petit Tonnerre sur-le-champ. Mais en tant que personne forte tu te retiens et verses quelques larmes à l’intérieur de toi-même.

Laisser un commentaire